"Je n'ai rien à dire, alors je dis"
que peut-on dire comme demi-vérité ?
DOI :
https://doi.org/10.31683/stylus.v1i47.1097Mots-clés :
Verité, Réel, Savoir, Jouissance, PasseRésumé
Il est impossible de faire tout, ou tout, mais la vérité n'est pas tout à fait par structure. Il est donc possible de semi-dire la vérité, mais de créer une structure propre à un comportement réel. Il y a une disjonction ou un cas fictif entre le savoir et la vérité, mais le fait de savoir payer un amour pour se faire avec la vérité parce que la jouissance, à belle-soeur. En d'autres termes, il y a toujours une tentative de réitération d'une perte de jouissance, mais nous savons que le savoir est le meilleur de joiussance et la vérité est la souer de jouissance. L'analyste tente d'accéder à cette vérité, mais la seule possibilité est la semi-dire, puisque sa structure est également de la fiction. A travers ce semi-dire, il est possible de traverser une fantaisie fondamentale qui fixe une marque de jouissance et une valeur de vérité par contingence. Lors de l'analyse, vous pouvez construire cette fantaisie fondamentale et écrire ce qui se passe au littoral, ou vous devez faire un travail d'historisation. Il y a une découverte fondamentale pour tout ce qui se passe: « tout ce qui est dit est oublié derrière ce qui est dit dans ce qui se écote » ou « il n'y a pas de rapport sexuel»: il y a une impossibilité d'écrire une relation sexuelle, mais, paradoxalement, toujours avoir une essayer de l'écrire. Sera un chemin de l'amour a la verité vers l'amour à la castration? Comment aimer cet écart, cette fissure? Il semble que nous soyons ici confrontés à la question du tournant du passé: il n'est pas tant intéressant que ce qui apparaît dans l'analyse finale, mais pas au moment de la virée, de l'avènement du désir de l'analyste, du passage de l'analyste à l'analyste ou de l'inauguration.
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